Que faire en Islande : les incontournables
Voir tous nos séjours …
1 – Blue Lagoon
Le Lagon bleu ou Bláa Lónið en islandais est une station thermale située dans le sud-ouest de l’Islande.
Situé entre l’aéroport de Keflavik et Reykjavik, il a été créé au milieu des années 1970 pour alimenter en eau chaude et en électricité les communes de la péninsule de Reykjanes et Reykjavik.
La particularité de cette station thermale est la création d’un lac totalement artificiel de plus de 200 mètres de longueur dans une zone volcanique au milieu des champs de lave et de lichen alimenté par l’eau de la centrale géothermique de Svartsengi.
Le Lagon bleu est un des hauts lieux touristiques du pays, très prisé aussi des Islandais. Il est considéré comme l’une des merveilles de la nature islandaise.
2 – Dettifoss
Dettifoss est une chute d’eau de 44 m de hauteur, située sur le cours du fleuve Jökulsá á Fjöllum. Elle est connue pour être la cascade la plus puissante d’Europe, d’une largeur de 100m², elle possède un débit d’environ 500 m3/s.
3 – Reykjavik
La capitale islandaise attire de plus en plus. Elle arrive en tête du Top 5 des villes les plus recherchées sur Google devant La Havane, Toronto, Mexico et Tokyo.
Reykjavík est la capitale la plus septentrionale du monde. Elle ne se trouve qu’à 3h 30 de Paris. En Islande, toutes les villes sont tournées vers la mer. Le reste du pays n’est qu’un vaste désert. Dès la sortie de la capitale, on plonge dans une lande qui s’étale à perte de vue. Le centre de Reykjavik se trouve à l’extrémité, près du port.
Reykjavik est une capitale créative, qui cultive une certaine dolce vità nordique. Avec, aux portes de la ville, splendeurs naturelles, geysers et bains de vapeur.
En islandais, chaque mot à une signification précise. Reykjavik ; étymologiquement veut dire « baie des fumées » (reykur : fumée ; vík : baie), en référence aux vapeurs qui s’échappent de la terre.
Reykjavik est située sur la marge sud-ouest de l’Islande, dans la baie de Faxaflói. La ville est au niveau de la mer. La montagne la plus haute dans le voisinage de Reykjavik est le mont Esja, qui culmine à 914 mètres.
3 – Parc national de Snaefellsjökull
Avant 2008, l’Islande comptait quatre parcs nationaux :
Thingvellir, Snæfellsjökull, Skaftafell et Jökulsárgljúfur. En 2008, le Skaftafell et le Jökulsárgljúfur ont effet été fusionnés et rebaptisés parc national du Vatnajökull, si bien que l’Islande possède désormais trois parcs nationaux. Celui de Snaefellsjökull est deuxième en terme de superficie.
Snaefellsnes signifie « péninsule du mont enneigé » un nom parfaitement adapté pour une longue péninsule sur laquelle se dresse un volcan couronné de glacier.
Le glacier Snaefellsjökull est un stratovolcan vieux de 700 000 ans qu’on peut apercevoir depuis Reykjavik par temps clair. Il culmine à 1446 m d’altitude et sa taille diminue peu à peu et mesure actuellement autour de 12 km² alors que sa superficie était de 15 km² au début du 20ème siècle.
Situé dans la municipalité de Snæfellsbær dans l’ouest du pays, ce parc fut créé en 2001 et s’étend sur 170 km².
Il regorge de randonnées balisées dans des sentiers tous plus magnifiques les uns que les autres. Certaines permettent de rallier des villages de pêcheurs en bordure de côte, d’autres de parcourir des champs de lave et enfin d’arpenter le myhtique glacier islandais rendu célèbre par Jules Verne et son Voyage au centre de la terre. Le glacier a aussi servi de décor à une autre roman célèbre, « Kristnihald undir Jökli (sous le glacier en français) » que l’on doit au prix Nobel de la paix islandais Halldor Laxness.
Tous ces facteurs ont contribué à faire du glacier volcan un l’une des destinations les plus célèbres d’Islande ces dernières années.
